fsngsngnkvb kbv rvrvrvrr

Les scientifiques découvrent que le corail aime le goût du plastique

Une équipe de scientifiques a récemment fait une découverte stupéfiante sur les raisons pour lesquelles les poissons mangent du plastique – découvrant que ce n’était pas seulement accidentel, mais que les poissons aiment l’odeur du plastique et, par conséquent, sont attirés à le manger.

Malheureusement, selon une nouvelle étude, ce ne sont pas seulement les poissons qui font ce choix. Les coraux mangent aussi du plastique et – et c’est aussi parce qu’il a bon goût pour eux.

Cette découverte fascinante et troublante provient d’une nouvelle recherche de l’Université Duke qui a été publiée dans le journal Marine Pollution Bulletin. La recherche a été menée par Austin S. Allen et Alexander C. Seymour, dont l’étude en deux parties portait sur des coraux prélevés dans les eaux au large de la côte de la Caroline du Nord. Ils ont découvert que les coraux consomment du plastique parce qu’il “a bon goût” et que les créatures préfèrent manger des microplastiques sans microbes.

fjsngdngkdnbgkslsgn lsDans la première partie de l’étude, Allen et Seymour ont proposé de petites quantités de huit différents types de microplaques aux coraux ainsi que des objets de taille similaire comme du sable propre. Ils ont découvert que les coraux mangeaient toutes sortes de plastique – et ignoraient surtout le sable. Dans la deuxième partie, ils ont séparé les coraux et leur ont offert la même quantité de plastique, non souillé pour un groupe et avec un biofilm bactérien pour l’autre. Les coraux ont mangé les deux espèces, mais ont préféré le type propre par une marge de trois pour un.

Pour identifier quels additifs pourraient être spécifiquement responsables du bon goût du plastique, jugé par les coraux, et s’ils agissent de la même manière avec d’autres espèces, il faudra approfondir la question.

La plupart des animaux marins qui ingèrent des plastiques dangereux ont été trouvés à le faire accidentellement ou parce que les morceaux de plastique ressemblent à des proies. Les coraux, cependant, n’ont pas d’yeux et ne peuvent donc pas être attirés à consommer visuellement du plastique.

Le plastique, une fois ingéré par les animaux, peut provoquer des blocages intestinaux, libérer des composés chimiques dans leur corps et dans l’environnement, créer un faux sentiment de satiété ou réduire les réserves d’énergie de l’animal. Certains scientifiques ont comparé le plastique à de la malbouffe – montrant que la vie marine aime s’ y remplir, mais que le plastique n’ a aucune valeur nutritive et qu’il peut être nocif pour leur santé. Comme l’ a souligné Allen, environ huit pour cent du plastique ingéré par les coraux dans l’étude “était encore coincé dans leurs tripes”, même après 24 heures.

Cette découverte est un rappel alarmant de plus que notre obsession pour le plastique à usage unique affecte l’environnement et la faune de nombreuses façons, dont un pourcentage énorme dont nous ne sommes même pas encore au courant. En fin de compte, l’espoir est que si nous pouvons fabriquer du plastique pour qu’il ait un goût involontairement bon pour ces animaux, nous pourrions aussi être en mesure de le fabriquer pour qu’il ait un goût délibérément mauvais “, a dit Seymour. “Cela pourrait réduire considérablement la menace que représentent ces microplastiques.”

Screen Shot 2017-10-11 at 16

Où en est la monétisation des impacts carbone, eau et biodiversité

L’Institut RSE Management a organisé, en partenariat avec la CDC Climat, une rencontre R3 consacrée à la monétisation des impacts carbone, eau et biodiversité.

Programme de la matinée :

  • Les données de reporting RSE doivent devenir des outils de pilotage – L’exemple du carbone et présentation du chantier de place CarbonValue4Business – « pour donner un prix à son carbone » – Par Patrick d’Humières, président de l’Institut RSE Management
  • Le CDP s’impose dans la mesure des émissions de CO2 – Par Nicolas Jandot, chef de projet à l’Institut RSE
  • La mesure de l’eau : Pourquoi ? Comment ? – Par Jean-Baptiste Bayart à Quantis
  • Biodiversité : la mesure progresse, par Guillaume Sainteny, expert Biodiversité
  • Donner un prix au carbone, de l’appel de la Banque Mondiale à la COP 21 : où en est-on et ce qu’il faudrait faire, par Emilie Alberola, Responsable de la Recherche à CDC Climat
  • Echanges avec la salle

Quel est l’objectif de ce projet ? Mettre en ligne un site pédagogique et opérationnel, à destination des entreprises, pour leur apporter les clés de compréhension pour leur démarche de monétarisation des émissions carbone et développer une communauté d’acteurs engagés sur le sujet.

  • Du contenu pédagogique : les outils, les différentes méthodes, bonnes pratiques, fiches pédagogiques…
  • Une expertise : recommandations pratiques et méthodologique

Qui participe ? Ce projet est multi-parties prenantes et les entreprises intéressées sont les bienvenues !

  • Les membres fondateurs et experts : Ils portent le projet et donnent gracieusement de leur temps et de leur connaissance
    • Institut RSE Management, Quantis, Ecovadis, Carbone 4, des Enjeux et des Hommes, Phinest (Belgique)
  • Le comité scientifique : Il apportent gracieusement de leur expertise et guident les autres participants dans la réflexion de fond
    • CDC Climat, Fondation Nicolas Hulot, Compta-Durable, Clausse Fussler, Guillaume Sainteny
  • Les entreprises sponsors : Elles apportent leur signature, leur expérience, leurs bonnes pratiques et une participation de 5000€
    • Gecina, Alstom, Ecovadis…

Quels sont les bénéfices de ce projet ?

  • Valoriser les avancées faites par les entreprises qui ont déjà commencer à se pencher sur la question et en faire profiter le plus grand nombre
  • Exprimer un engagement significatif en facteur de la lutte contre le changement climatique par une initiative économique concrète d’intérêt général
  • Faire avance la connaissance sur l’intégration économique du coût du carbone dans la gestion des entreprises et les investissements publics et privés
  • Créer une communauté de sachants sur le sujet en vue d’opérer un effet de levier dans les discussions et communications en matière de lutte contre le changement climatique
  • Participer à la communication sur l’enjeu carbone, à l’occasion de la COP21 autour de la question centrale du prix du carbone et de la façon de le prendre en compte

Vous souhaitez vous associer au projet ou en savoir plus ? N’hésitez pas à contacter l’equipe– [email protected]